On ne présente plus Doris Lessing, grande dame de la littérature anglaise et prix Nobel de littérature en 2007. J'ai découvert l'auteure avec le Cinquième enfant, récit à la frontière du fantastique qui plonge le lecteur dans un malaise et une horreur croissante. Je la retrouve, quelques années plus tard, dans ce qu'elle-même considérait comme le sommet de son œuvre : Shikasta, un roman de science-fiction assumé qui s'inscrit de manière indépendante dans un cycle de cinq ouvrages.
Nous avons lu
Oyez ! Et voici qu’entre, dans un grincement d’os, La MORT, inévitable, qui parfois en a assez de bosser. Elle défile devant. Puis suivent des sorcières, des mages, des démons, des dragons asthmatiques, un bagage cannibale, un agent municipal neurasthénique, un sortilège vagabond, des trolls et des nains, tous agglutinés sur un monde plat, reposant en majesté sur quatre éléphants, juchés eux-mêmes sur la vénérable tortue stellaire, la Grande A’Tuin.
Le monolithe best-seller, non encore achevé, que représente la somme titanesque de l’œuvre de George Martin pèche par de nombreuses failles.
Humour à l'eau de rose...
Une première de couverture volontairement kitch donne le ton : Sandrine et Henri ont tout pour être heureux (et s'ennuyer, mais on ne le dit pas ! ), jusqu'à ce que Sandrine tombe amoureuse de Michel, chanteur dans un groupe de rock et livreur à domicile.
Pourquoi faut-il (re)-lire Harry Potter ?
« Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises. »
Harry Potter, c'est le conte originel, à la profonde simplicité, capable de toucher chacun de nous, et de remuer notre enfance assoupie.
Emprunter un polar pour paresser pendant les vacances, d'accord. Mais pas n'importe lequel ! Mon erreur a certainement été de choisir un peu trop vite...
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